Innovation

Meilleure solution BaaS (Banking-as-a-Service) 2025 : Le guide complet

Publié le
23.5.2025

Comment trouver la meilleure solution BaaS (Banking-as-a-Service) en 2025 ? 

En 2025, choisir une solution BaaS (Banking-as-a-Service) n’est plus un sujet réservé aux néobanques ou fintechs. De plus en plus d’entreprises — plateformes, marketplaces, éditeurs SaaS ou encore retailers — cherchent à intégrer des services bancaires ou de paiement au cœur de leur parcours client. Mais dans un marché où les acteurs se multiplient, les technologies évoluent vite et les offres sont très hétérogènes, il devient difficile de s’y retrouver.

Qu’il s’agisse d’émettre des IBAN, de proposer une carte bancaire en marque blanche, d’orchestrer des flux de paiement, ou d’accéder à des API bancaires, le choix d’une solution BaaS doit être pensé en fonction de vos besoins métier, de votre roadmap technique, mais aussi de vos contraintes réglementaires.

À qui s’adressent ces solutions ? Quand faut-il faire appel à un acteur BaaS ? Et surtout, comment évaluer la maturité, la fiabilité ou la scalabilité d’un prestataire parmi les dizaines disponibles en France et en Europe ?

Dans cet article, vous découvrirez comment identifier la meilleure solution BaaS pour votre entreprise en 2025, grâce à une méthode claire, des comparatifs et des retours d’expérience, sans tomber dans le piège des effets d’annonce ou des plateformes surdimensionnées.
Et si vous souhaitez aller plus loin, Komission.fr vous accompagne gratuitement pour qualifier et comparer les solutions adaptées à votre business model.

1. Qu’est-ce qu’une solution BaaS et à quoi sert-elle en 2025 ?

Définition actualisée du Banking-as-a-Service

Le Banking-as-a-Service, ou BaaS, désigne une infrastructure technologique permettant à une entreprise — souvent non bancaire — d’intégrer directement dans son interface des services financiers réglementés, via des API fournies par une tierce partie.

Autrement dit, avec une solution BaaS, une entreprise peut proposer à ses utilisateurs :

  • La création d’un compte de paiement ou IBAN
  • L’émission ou la gestion de cartes bancaires (virtuelles ou physiques)
  • L’accès à des services de virements, prélèvements, open banking, gestion de solde
  • Des fonctionnalités comme le KYC, KYB, lutte anti-fraude ou agrégation bancaire

💡 Le tout sans être un établissement bancaire, car c’est le prestataire BaaS qui détient l’agrément (souvent EMI – Établissement de Monnaie Électronique ou EP – Établissement de Paiement).

Ce que permet concrètement une solution BaaS en 2025

En 2025, les cas d’usage du BaaS se sont largement diversifiés. On en trouve désormais dans :

• Les plateformes de gestion et ERP :

Ajout de comptes professionnels, gestion automatisée de trésorerie ou cartes pour collaborateurs.

• Les marketplaces :

Séparation des flux vendeurs / acheteurs, cantonnement des fonds, paiement fractionné ou instantané.

• Les fintechs et néobanques :

Construction de leur propre produit bancaire en marque blanche, sans demander un agrément complet.

• Les applications B2B ou B2C :

Intégration de moyens de paiement internes (wallets, cartes cadeaux, cashbacks, etc.)

• Le retail ou l’e-commerce :

Paiement fractionné interne, cartes de fidélité intelligentes, solutions de financement intégrées.

👉 Le BaaS devient ainsi un accélérateur de monétisation, de rétention client et d’innovation, au service d’acteurs non bancaires.

BaaS ≠ PSP : une confusion fréquente à éviter

Il est important de distinguer le BaaS (Banking-as-a-Service) des PSP (Payment Service Providers).
Un PSP (comme Stripe, Adyen, Payplug, etc.) permet d’encaisser des paiements.
Un BaaS, lui, permet d’ouvrir des comptes, d’émettre des cartes, de gérer des flux complexes.

Fonctionnalité PSP classique BaaS complet
Encaissement par carte bancaire
Ouverture de compte / IBAN
Émission de cartes bancaires ❌ (ou très limité)
Gestion de comptes multiples
API bancaire complète

💡 Le BaaS ne remplace pas toujours un PSP. Dans certains cas, les deux peuvent coexister, selon le modèle économique choisi.

Pourquoi 2025 marque un tournant stratégique pour le BaaS

Plusieurs facteurs font de 2025 une année charnière pour le BaaS :

  • L’essor des plateformes as-a-service (fintech, e-commerce, RH, mobilité…)
  • L’évolution des besoins utilisateurs vers des parcours unifiés et intégrés
  • Le durcissement des exigences réglementaires (DSP2, DSP3, AML5, registre EBA…)
  • L’arrivée de nouveaux acteurs avec des offres plus simples, plus modulaires, plus compétitives

👉 Le BaaS devient un levier de différenciation produit et un atout concurrentiel majeur, à condition de choisir la bonne architecture et le bon partenaire.

2. Les grandes tendances du BaaS en 2025

Un marché en pleine structuration… et en forte croissance

Le Banking-as-a-Service (BaaS) est devenu l’un des segments les plus dynamiques de la fintech européenne. D’après les projections de Finch Capital, le marché du BaaS devrait enregistrer une croissance de +44 % entre 2024 et 2026, soutenu par :

  • La démocratisation des services financiers intégrés
  • Le besoin d’agilité des acteurs non bancaires
  • La pression concurrentielle sur les parcours utilisateurs

Le cabinet Grand View Research estime par ailleurs que le marché mondial du BaaS dépassera les 65 milliards USD d’ici 2030, avec une adoption particulièrement marquée en Europe.

L’intégration bancaire devient une brique produit

Les solutions BaaS ne sont plus réservées aux fintechs : elles s’intègrent aujourd’hui dans tous types d’industries via API.

Selon une étude de McKinsey (2023), d’ici 18 mois :

  • 1 entreprise technologique sur 5 prévoit d’intégrer une fonctionnalité bancaire native dans son produit
  • 45 % des nouveaux services de paiement seront opérés via partenaire BaaS ou Embedded Finance

Les principaux secteurs moteurs sont :

  • SaaS B2B (ERP, compta, CRM)
  • Plateformes e-commerce (checkout enrichi, wallet, cashback)
  • Mobilité et services (fleet cards, scoring, assurance)
  • Marketplaces (gestion des paiements fournisseurs et acheteurs)

💡 Résultat : l’approche “build vs partner” est en train de basculer.
Les entreprises préfèrent s’appuyer sur un BaaS pour accélérer, sans supporter seules la charge réglementaire ou l’infrastructure bancaire.

BaaS vs PSP : la bascule s’accélère dans les projets fintech

Dans les projets de type néobanque, plateforme ou super-app, le recours à une solution BaaS devient la norme dès la phase de MVP.

🔁 En 2024, près de 60 % des nouvelles fintechs lancées en France ont fait appel à un acteur BaaS pour démarrer, selon Tracxn et les données internes de Komission.fr.

Contrairement à un PSP qui se contente d’encaisser des paiements, un BaaS permet à une entreprise de :

  • Contrôler l’expérience utilisateur
  • Offrir de la valeur ajoutée (carte, compte, tableau de bord)
  • Fidéliser sur des services financiers récurrents
  • Et parfois, monétiser directement les flux bancaires

Et demain ? Des offres plus verticalisées, et de nouveaux entrants

En 2025, on observe deux grandes tendances structurantes du marché BaaS :

• L’émergence de solutions spécialisées par industrie

Ex : BaaS pour le transport, pour le retail, pour les plateformes RH, etc.

• L’arrivée de nouveaux acteurs locaux ou “light BaaS”

Des acteurs qui ne sont pas EMI mais qui orchestrent une partie des flux avec un positionnement plus agile, comme Swan en France ou Railsr à l’échelle européenne.

Cela oblige les entreprises à être plus vigilantes sur l’architecture, la scalabilité et les risques de dépendance.

Sources :

  • Finch Capital – Fintech: The Future of Embedded Finance, 2023
  • Grand View Research – Banking-as-a-Service Market Forecast
  • McKinsey – The state of Embedded Finance, 2023
  • 3. Quels sont les acteurs BaaS incontournables en 2025 en France ?

    Un écosystème en forte croissance, mais complexe à lire

    Le marché du Banking-as-a-Service (BaaS) en France s’est structuré ces dernières années autour de quelques leaders européens et de nouveaux entrants portés par des levées de fonds importantes. Mais cette richesse rend la comparaison difficile : chaque prestataire BaaS a sa spécialité, son niveau d’agrément, ses contraintes techniques et sa stratégie d’accompagnement.

    👉 Certains se concentrent sur les comptes et cartes, d’autres sur l’orchestration des flux, d’autres encore proposent une suite “end-to-end”… mais très peu sont réellement adaptés à toutes les typologies d’entreprise.

    Besoin d’y voir clair ?
    Komission.fr connaît les forces, les limites et les conditions commerciales réelles de chaque acteur BaaS présent en France. Nous savons quels prestataires sont les plus adaptés à un lancement rapide, à un besoin complexe, ou à une scalabilité forte.

    👉 Ne perdez plus des semaines à comparer des APIs, SLAs et options réglementaires sans visibilité. Nous vous orientons vers les 2 ou 3 meilleures solutions… et vers les bons interlocuteurs.

    Comparer les solutions BaaS avec Komission.fr

    Les principaux acteurs BaaS opérant en France en 2025

    Voici une synthèse non exhaustive des prestataires BaaS les plus visibles et actifs en France :

    Treezor

    • Filiale de Société Générale
    • Agrément EMI
    • Spécialiste des solutions complètes (IBAN, cartes, KYC, SEPA…)
    • Solide mais parfois complexe à intégrer pour des startups early-stage
    • Réputé pour sa conformité et sa robustesse

    Swan

    • BaaS français à croissance rapide
    • Agrément EP + émission de cartes Mastercard
    • Positionné sur les besoins d'intégration rapide via API
    • Interface moderne, onboarding fluide, bonne documentation
    • Très apprécié des startups fintechs, marketplaces et SaaS

    Bankable

    • Acteur britannique avec présence en France
    • API modulaires : émission de cartes, wallet, IBAN
    • Positionné sur le mid-market et l’accompagnement sur-mesure
    • Utilisé par plusieurs fintechs B2B

    Unnax

    • Originaire d’Espagne, en forte poussée sur le marché français
    • Permet l’ouverture de comptes, KYC/KYB, scoring, open banking
    • Offre assez complète pour les plateformes SaaS et marketplaces

    Xpollens

    • Solution BaaS développée par Natixis Payments (groupe BPCE)
    • Très complet : IBAN, cartes, virements, KYC, escrow, marque blanche
    • Solide en back-office, mais plus adapté aux projets structurés
    • Référence pour les entreprises mid-to-large en phase de scale-up

    Swile / Qonto / Shine (via API partenaires ou internes)

    • Ne sont pas des BaaS au sens strict mais exposent des briques bancaires via API
    • Peuvent répondre à certains besoins simples via leur back-office technique
    • Peu adaptés aux projets nécessitant une orchestration complète ou marque blanche

    Les critères pour évaluer un acteur BaaS

    Avant de choisir un prestataire, il faut étudier :

    • Son agrément (EP, EMI ou simple partenaire technique)
    • La profondeur fonctionnelle de son API (comptes, cartes, KYC, transferts…)
    • La scalabilité et documentation technique
    • Le support réglementaire et l’hébergement des fonds
    • Les SLA, roadmap, et capacité d’adaptation à votre modèle
    Prestataire Agrément Fonctionnalités principales Clientèle cible
    Treezor EMI (France) IBAN, cartes, virements SEPA, KYC/KYB, compliance Fintechs matures, projets à forte volumétrie
    Swan EP + émission de carte (France) IBAN, cartes Mastercard, API REST, onboarding rapide Startups, SaaS, scaleups
    Bankable Partenaire EMI (UK) Cartes, wallets, IBANs, orchestration, white-label Mid-market, fintechs B2B
    Unnax EP + API Open Banking (Espagne) Comptes de paiement, scoring, agrégation, KYC/KYB Marketplaces, plateformes SaaS
    Xpollens EMI (France – Groupe BPCE) Comptes, cartes, virements, KYC, escrow, marque blanche Grands comptes, scale-ups, projets structurés

    Pourquoi faire appel à Komission.fr dans cette sélection ?

    Dans cet écosystème mouvant, choisir le bon prestataire BaaS nécessite :

    • Une bonne lecture de vos besoins métiers réels (et non une simple lecture technique)
    • Une vision neutre et actualisée des forces et limites de chaque acteur
    • Une capacité à négocier les bonnes conditions et accéder aux bons interlocuteurs

    👉 Komission.fr vous aide à qualifier votre besoin, à comparer les offres sur des critères concrets, et à vous mettre en relation avec les solutions réellement pertinentes pour vous.

    Nous connaissons les back-offices, les délais de mise en service, les modèles de pricing… et vous évitons de perdre 3 à 6 mois dans une mauvaise intégration.

    4. Quels critères pour bien choisir sa solution BaaS ?

    Un choix qui dépend avant tout de votre modèle économique

    Le meilleur acteur BaaS en 2025 n’est pas celui qui propose “le plus d’API”, mais celui qui correspond réellement à vos objectifs business.

    Avant de comparer les offres, il faut se poser les bonnes questions :

    • Quels services financiers voulez-vous exposer ? (IBAN, carte, transferts, KYC…)
    • Souhaitez-vous opérer en marque blanche ou co-brandé ?
    • Avez-vous déjà un agrément (PSP, EMI) ou déléguez-vous la conformité ?
    • Quels volumes d’utilisateurs, transactions ou comptes prévoyez-vous ?
    • Votre plateforme est-elle mono-pays ou multi-devises ?
    • Souhaitez-vous un go-to-market rapide ou une architecture scalable sur 5 ans ?

    💡 Beaucoup d’entreprises perdent du temps (et de l’argent) à vouloir tout intégrer dès le départ, alors qu’une approche modulaire serait suffisante.

    Les 6 actions simples pour réduire vos frais dès ce mois-ci

    1

    Définissez vos cas d’usage

    Cartes, comptes, transferts, KYC… Listez les briques fonctionnelles nécessaires à votre modèle économique.

    2

    Vérifiez le type d’agrément

    EMI, EP, ou simple agent ? L’agrément conditionne les services proposés et la portée géographique de l’offre.

    3

    Évaluez la profondeur de l’API

    Testez la clarté de la documentation, la cohérence des endpoints et la capacité d’intégration rapide.

    4

    Analysez les processus KYC / KYB

    Un bon BaaS doit gérer les vérifications client de manière fluide, sécurisée et conforme à la réglementation.

    5

    Anticipez les coûts et les SLA

    Frais fixes, frais variables, délais d’exécution, SLA contractuels : évitez les surprises avec un audit détaillé.

    6

    Choisissez un acteur adapté à votre maturité

    Start-up, scale-up ou groupe structuré ? Tous les BaaS ne sont pas faits pour tous les profils.

    Les critères techniques à ne pas négliger

    1. Profondeur et cohérence des API

    Certaines solutions exposent des API très complètes, mais leur documentation est mal maintenue, ou peu cohérente dans l’usage.
    Assurez-vous que le prestataire :

    • Dispose d’un bac à sable clair
    • Permet une intégration en quelques semaines
    • Fournit des SDK ou webhooks structurés

    2. Fiabilité et SLA

    Un incident de service sur des virements ou sur l’émission de carte impacte directement vos utilisateurs.
    Assurez-vous que le prestataire propose :

    • Des SLA formels (99,9 %, support sous 4h…)
    • Un monitoring d’état public
    • Une capacité à monter en charge rapidement

    3. Gestion du KYC / KYB

    L’un des points critiques de toute solution BaaS.
    Posez-vous ces questions :

    • Le prestataire prend-il en charge l’ensemble du parcours de vérification ?
    • Le KYC est-il instantané ou manuel ?
    • Peut-il gérer des cas complexes (multi-représentants, documents étrangers, etc.) ?
    • Quelles sont les conséquences si le dossier est incomplet ou rejeté ?

    Les aspects réglementaires et contractuels à valider

    4. Type d’agrément

    • Certains prestataires sont EMI agréés (ex : Treezor, Xpollens) → full stack bancaire
    • D’autres sont EP (Swan, Unnax) → paiement seulement
    • D’autres encore ne sont qu’intermédiaires (Bankable, certains SaaS) → dépendance à une tierce partie

    💡 Votre capacité à émettre des IBAN, à cantonner les fonds ou à gérer la carte dépend directement de ce statut.

    5. Portée géographique

    • Certains prestataires sont limités à la zone SEPA
    • D’autres peuvent opérer en multi-devises ou en dehors de l’UE (souvent via partenaires)

    6. Contrats & délais

    • Vérifiez les délais de mise en service réels (et non marketing)
    • Analysez les clauses de résiliation, de dépendance technique ou d’exclusivité
    • Attention aux modèles de pricing flous (par API, par utilisateur, par requête…)

    5. Les grandes tendances du BaaS en 2025

    Un marché en pleine structuration… et en forte croissance

    Le Banking-as-a-Service (BaaS) est devenu l’un des segments les plus dynamiques de la fintech européenne. D’après les projections de Finch Capital, le marché du BaaS devrait enregistrer une croissance de +44 % entre 2024 et 2026, soutenu par :

    • La démocratisation des services financiers intégrés
    • Le besoin d’agilité des acteurs non bancaires
    • La pression concurrentielle sur les parcours utilisateurs

    Le cabinet Grand View Research estime par ailleurs que le marché mondial du BaaS dépassera les 65 milliards USD d’ici 2030, avec une adoption particulièrement marquée en Europe.

    L’intégration bancaire devient une brique produit

    Les solutions BaaS ne sont plus réservées aux fintechs : elles s’intègrent aujourd’hui dans tous types d’industries via API.

    Selon une étude de McKinsey (2023), d’ici 18 mois :

    • 1 entreprise technologique sur 5 prévoit d’intégrer une fonctionnalité bancaire native dans son produit
    • 45 % des nouveaux services de paiement seront opérés via partenaire BaaS ou Embedded Finance

    Les principaux secteurs moteurs sont :

    • SaaS B2B (ERP, compta, CRM)
    • Plateformes e-commerce (checkout enrichi, wallet, cashback)
    • Mobilité et services (fleet cards, scoring, assurance)
    • Marketplaces (gestion des paiements fournisseurs et acheteurs)

    💡 Résultat : l’approche “build vs partner” est en train de basculer.
    Les entreprises préfèrent s’appuyer sur un BaaS pour accélérer, sans supporter seules la charge réglementaire ou l’infrastructure bancaire.

    BaaS vs PSP : la bascule s’accélère dans les projets fintech

    Dans les projets de type néobanque, plateforme ou super-app, le recours à une solution BaaS devient la norme dès la phase de MVP.

    🔁 En 2024, près de 60 % des nouvelles fintechs lancées en France ont fait appel à un acteur BaaS pour démarrer, selon Tracxn et les données internes de Komission.fr.

    Contrairement à un PSP qui se contente d’encaisser des paiements, un BaaS permet à une entreprise de :

    • Contrôler l’expérience utilisateur
    • Offrir de la valeur ajoutée (carte, compte, tableau de bord)
    • Fidéliser sur des services financiers récurrents
    • Et parfois, monétiser directement les flux bancaires

    Et demain ? Des offres plus verticalisées, et de nouveaux entrants

    En 2025, on observe deux grandes tendances structurantes du marché BaaS :

    • L’émergence de solutions spécialisées par industrie

    Ex : BaaS pour le transport, pour le retail, pour les plateformes RH, etc.

    • L’arrivée de nouveaux acteurs locaux ou “light BaaS”

    Des acteurs qui ne sont pas EMI mais qui orchestrent une partie des flux avec un positionnement plus agile, comme Swan en France ou Railsr à l’échelle européenne.

    Cela oblige les entreprises à être plus vigilantes sur l’architecture, la scalabilité et les risques de dépendance.

    Sources :

  • Finch Capital – Fintech: The Future of Embedded Finance, 2023
  • Grand View Research – Banking-as-a-Service Market Forecast
  • McKinsey – The state of Embedded Finance, 2023
  • 6. Comment Komission.fr peut vous accompagner concrètement ?

    Un courtier indépendant, spécialiste du BaaS et des services de paiement

    Chez Komission.fr, nous ne sommes ni un prestataire technique, ni une banque, ni un intégrateur.
    Nous sommes un courtier 100 % indépendant, spécialisé dans l’univers du paiement, de la monétique et de l’intégration bancaire.

    Depuis plus de 10 ans, nous accompagnons des entreprises de toute taille à :

    • Comprendre les offres BaaS et leurs subtilités
    • Traduire leur besoin métier en critères techniques et contractuels
    • Comparer objectivement les solutions du marché
    • Accéder directement aux interlocuteurs qualifiés chez les bons prestataires

    Nous travaillons avec plus de 80 acteurs en France et en Europe, y compris tous les leaders du BaaS (Treezor, Swan, Xpollens, Bankable, Unnax…).

    💡 Conseil :
    Une solution BaaS qui fonctionne parfaitement pour un acteur e-commerce peut être totalement inadaptée pour une fintech B2B.

    Les enjeux, les flux, les attentes techniques et réglementaires sont radicalement différents selon votre secteur. Ne vous laissez pas séduire par une success story qui ne correspond pas à votre modèle. C’est pourquoi un accompagnement sur-mesure est essentiel.

    Les bénéfices pour vous

    • Gain de temps : pas besoin de contacter chaque acteur un par un
    • Décision sereine : pas de jargon, pas de biais commercial
    • Optimisation budgétaire : accès aux meilleures conditions négociées
    • Expertise métier : nous avons l’expérience du terrain, pas uniquement une approche “technique”

    💡 Que vous soyez une fintech, une plateforme SaaS, une marketplace ou une entreprise traditionnelle en phase de digitalisation, Komission.fr vous oriente vers la solution BaaS la plus cohérente avec vos enjeux actuels et futurs.

    🟣 Conclusion : Le bon choix BaaS ne se joue pas sur une grille d’API… mais sur votre stratégie

    Choisir une solution Banking-as-a-Service ne consiste pas à cocher des fonctionnalités techniques ou à opter pour le “leader du marché”.
    C’est une décision structurante qui engage l’expérience de vos utilisateurs, votre conformité réglementaire, la qualité de votre service, votre rapidité d’exécution, et bien sûr… votre scalabilité.

    En 2025, les offres sont nombreuses, bien présentées, souvent séduisantes — mais rarement conçues pour vous.
    Certaines solutions conviendront à un e-commerçant, d’autres à une fintech B2B. Certaines sont idéales pour un MVP rapide, d’autres pour un projet à très forte volumétrie.

    👉 C’est pourquoi chez Komission.fr, nous croyons que le meilleur BaaS, c’est celui qui est parfaitement aligné avec vos besoins, vos contraintes et vos ambitions.

    🎯 Vous hésitez encore ? On vous aide à faire le tri, gratuitement.

    En quelques clics, vous pouvez décrire votre projet, vos objectifs et vos attentes.
    Nos experts analyseront votre profil, compareront plus de 80 prestataires référencés, et vous recommanderont les 2 ou 3 solutions les plus pertinentes pour vous, sans biais commercial.

    Jérémy MEUNIER

    Fondateur de Komission
    Je suis Jérémy MEUNIER, expert des solutions de paiement pour le magasin et le commerce en ligne. J’ai piloté pendant 10 ans la Direction Commercial d’un acteur majeur de la distribution de terminaux de paiement en France (+230k POS et +17k clients), ensuite co-fondateur d'un orchestrateur du paiement all in one (+20M€ ARR) et administrateur de l’association du paiement Français.