Calcul des coûts réels
Sans CPQ Payment
Estimation basée sur moyennes et hypothèses.
Avec Payment CPQ
Calcul précis (interchange, scheme fees, acquéreurs, APM).

Qui ? Un CPQ (Configure, Price, Quote) appliqué au secteur du paiement est une plateforme capable de configurer, calculer et sécuriser des offres tarifaires complexes intégrant APM, acquéreurs multiples, pays, secteurs d’activité et contraintes réglementaires.
Quoi ? Tous les acteurs du paiement : PSP & Payment Gateways ; Acquéreurs et sous-acquéreurs ; Fintechs & BaaS ; Émetteurs de wallets / APM ; Head of Sales, Pricing Managers, Finance, RevOps, Product
Ou ? Sur l’ensemble des canaux de vente : Vente directe ; Grands comptes & appels d’offres ; Partenaires & prescripteurs ; Omnicanal (e-commerce, POS, in-store, cross-border)
Quand ? Dès lors qu’un PSP : Opère dans plusieurs pays ; Propose plusieurs APM ; Travaille avec plusieurs acquéreurs ; Souhaite sécuriser sa marge à l’échelle
Comment ? Grâce à une Payment CPQ Platform connectée : À la base de coûts réelle (interchange, scheme fees, acquéreur) ; Aux outils Sales (Salesforce, HubSpot) ; Aux systèmes internes (ERP, billing, signature électronique)
Pourquoi ? Parce qu’un PSP doit savoir précisément quand, où et comment il gagne de l’argent et éviter de vendre à perte sans le savoir.
Le pricing dans le paiement n’est plus un exercice commercial.
C’est devenu un problème systémique, à la croisée de la finance, de la technologie et de la stratégie produit.
Pourtant, cette complexité reste largement invisible jusqu’au moment où les marges s’érodent sans explication claire.
En quelques années, les PSP sont passés :
Chaque APM introduit :
Résultat : un PSP ne vend plus “un paiement”,
il vend une combinaison dynamique de routes, de partenaires et de risques.
Pour optimiser les taux d’acceptation et les coûts, les PSP achètent désormais leurs flux :
Ce modèle est économiquement pertinent, mais :
Sans outil dédié, il devient quasiment impossible de répondre simplement à une question pourtant vitale :
La majorité des PSP continuent de :
Or le pricing paiement est désormais :
Un prix qui semble rentable sur le papier peut devenir déficitaire :
👉 Le risque n’est plus de mal vendre.
👉 Le risque est de vendre correctement… mais à perte.
Beaucoup de PSP raisonnent encore en :
Mais dans un modèle multi-APM et multi-acquéreurs :
Un PSP peut être :
Ces pertes restent invisibles tant que :

Face à cette complexité :
Conséquences directes :
Et surtout :
Le problème fondamental n’est donc pas la complexité en soi.
Les PSP savent gérer la complexité technique.
Le vrai danger est ailleurs :
Sans outil spécialisé :
Un Payment CPQ ne s’adresse pas à une typologie unique d’entreprise, mais à l’ensemble des acteurs du paiement confrontés à une même réalité : la nécessité de transformer une complexité économique croissante en décisions commerciales fiables et scalables.
Contrairement à un outil purement commercial ou financier, le Payment CPQ se positionne comme une plateforme transverse, utilisée par plusieurs fonctions clés, chacune avec des enjeux distincts mais convergents.
Le premier public naturel d’un Payment CPQ est le PSP en phase de structuration ou d’accélération. À mesure que le portefeuille clients s’élargit, que les pays s’ajoutent et que les moyens de paiement se multiplient, le pricing cesse d’être un exercice artisanal. Chaque nouveau client introduit des règles spécifiques, chaque nouveau pays ajoute une couche de coûts et chaque APM modifie l’équilibre économique global.
Pour ces acteurs, le Payment CPQ devient le socle qui permet de continuer à croître sans dégrader la marge. Il transforme le pricing en un processus industrialisé, documenté et sécurisé, capable d’absorber la complexité sans ralentir la dynamique commerciale.
Pour les directions commerciales, le Payment CPQ répond à une tension structurelle. Les équipes Sales doivent aller vite, proposer des offres compétitives et s’adapter aux contraintes spécifiques des grands comptes. Dans le même temps, elles sont exposées à un risque financier qu’elles ne maîtrisent pas toujours, faute de visibilité sur les coûts réels.
Le Payment CPQ redonne de l’autonomie aux équipes commerciales en leur offrant un cadre clair. Il permet de configurer des offres complexes, de simuler des scénarios réalistes et de générer des devis conformes aux règles de marge définies par l’entreprise. Le Head of Sales n’arbitre plus à l’intuition : il pilote par la donnée.
Dans de nombreux PSP, les équipes Pricing sont devenues un point de passage obligé pour chaque devis significatif. Cette centralisation n’est pas un choix stratégique, mais une conséquence directe de l’absence d’outils adaptés. Les Pricing Managers passent alors plus de temps à sécuriser l’existant qu’à optimiser la stratégie tarifaire.
Le Payment CPQ leur permet de formaliser leur expertise dans des règles, des modèles et des scénarios réutilisables. Leur rôle évolue : ils ne sont plus un goulot d’étranglement opérationnel, mais les architectes de la politique de marge et de la stratégie de croissance rentable.
Pour les équipes Finance et les CFO, le Payment CPQ apporte une rupture majeure. Il ne s’agit plus seulement de constater la rentabilité a posteriori, mais de la prévoir et la piloter en amont. Chaque devis devient une projection économique, chaque signature un engagement mesuré.
Le Payment CPQ offre une lecture fine de la profitabilité par client, par pays, par APM et par segment. Il permet d’anticiper les effets de volume, d’identifier les zones de subvention implicite et de sécuriser la trajectoire financière globale du PSP.
Les acteurs émergents du paiement, souvent plus agiles technologiquement, sont confrontés très tôt à une complexité économique forte. Leur différenciation repose sur l’innovation produit, mais leur pérennité dépend de leur capacité à monétiser correctement cette innovation.
Pour ces structures, le Payment CPQ n’est pas un outil d’optimisation tardive, mais un outil de structuration. Il leur permet de poser dès le départ des règles claires de pricing, d’éviter les erreurs de lancement et de construire un modèle économique scalable et défendable face aux investisseurs.
Enfin, le Payment CPQ s’adresse aux dirigeants qui ne veulent plus piloter leur activité à l’aveugle. Dans un secteur où les volumes masquent parfois les fragilités, disposer d’une vision claire sur la création de valeur réelle devient un avantage stratégique.
Le Payment CPQ apporte cette transparence. Il aligne la stratégie commerciale, la réalité économique et l’exécution opérationnelle autour d’un référentiel unique. Il devient un outil de gouvernance autant qu’un accélérateur de croissance.
Les outils CPQ traditionnels ont été conçus pour vendre des produits ou des services à prix relativement stables.
Le paiement, lui, obéit à une logique radicalement différente.
Appliquer un CPQ générique au paiement revient à utiliser un CRM pour faire de la comptabilité analytique : l’outil n’est tout simplement pas conçu pour cela.
Un CPQ standard fonctionne sur :
Or, dans le paiement :
Chaque transaction peut dépendre :
👉 Il n’existe pas de catalogue unique du paiement.
Il existe uniquement des scénarios.
Le cœur du problème est là.
Un CPQ classique :
Résultat :
Dans le paiement, une erreur de quelques points de base :
Les CPQ traditionnels sont conçus pour :
Mais le pricing paiement est :
Un bon CPQ paiement doit pouvoir :
👉 Les CPQ classiques ne savent pas gérer :
Un devis généré par un CPQ classique :
Mais ce contrôle est illusoire.
Car :
👉 Le risque est majeur :
Les PSP ne vivent pas dans un CPQ isolé.
Ils opèrent avec :
Les CPQ classiques :
Or dans le paiement :

Face aux limites des CPQ classiques :
Conséquences :
👉 Un CPQ qui dépend trop de l’humain n’est pas scalable.
Le problème n’est pas que les CPQ classiques soient mauvais.
Le problème est qu’ils n’ont jamais été conçus pour le paiement.
Le secteur exige :
Un Payment CPQ (Configure, Price, Quote) est une plateforme logicielle spécialisée, conçue spécifiquement pour le secteur du paiement, dont l’objectif est de permettre aux PSP de configurer, calculer, simuler, valider et industrialiser des offres commerciales complexes tout en garantissant la maîtrise des coûts transactionnels et la protection des marges.
Contrairement aux CPQ traditionnels, un Payment CPQ ne se limite pas à produire un devis. Il agit comme un moteur de décision économique, capable de modéliser la réalité financière du paiement dans toute sa granularité. Chaque prix proposé est le résultat d’un calcul intégrant les structures de coûts réelles, les règles de marge, les contraintes pays, les moyens de paiement activés et les routes d’acquisition utilisées.
Un Payment CPQ traduit une logique simple mais fondamentale pour un PSP : le pricing n’est plus une promesse commerciale, c’est une projection économique mesurable.
Dans un environnement où les flux sont multi-acquéreurs, multi-APM et multi-pays, le Payment CPQ devient le point central où se rencontrent la donnée finance, la stratégie commerciale et l’exécution opérationnelle. Il permet de simuler des scénarios réalistes avant signature, d’anticiper l’évolution des marges selon le volume et le mix transactionnel, et de sécuriser les décisions commerciales à grande échelle.
Un Payment CPQ est également un outil de gouvernance. Il formalise les règles de pricing, encadre les marges minimales acceptables, impose des workflows de validation et garantit la traçabilité des décisions. Il permet ainsi d’autonomiser les équipes Sales sans exposer l’entreprise à des risques financiers invisibles.
Enfin, un Payment CPQ est nativement connecté à l’écosystème du PSP. Il dialogue avec les CRM, les outils de facturation, les ERP, les moteurs internes, les bases de données transactionnelles et les solutions de signature électronique. Il ne crée pas une couche supplémentaire, il orchestré la donnée existante pour la transformer en décisions fiables.
En résumé, un Payment CPQ ne répond pas à la question « combien facturer », mais à une question bien plus stratégique :
ce prix est-il rentable aujourd’hui, demain et à l’échelle ?
Un Payment CPQ ne se juge pas à la richesse de son interface, mais à sa capacité à reproduire fidèlement la réalité économique du paiement, à l’exploiter en temps réel et à la transformer en décisions commerciales sécurisées.
Certaines fonctionnalités ne sont pas optionnelles : sans elles, le CPQ devient un simple outil de devis, incapable de protéger la marge d’un PSP.
Un bon Payment CPQ doit être capable de modéliser l’ensemble des canaux de vente d’un PSP, qu’il s’agisse d’e-commerce, de paiement en magasin, d’omnicanal ou de parcours hybrides. Chaque canal implique des coûts, des règles d’acceptation et des comportements transactionnels différents.
La plateforme doit permettre de construire plusieurs scénarios pour un même client, en faisant varier les volumes, les moyens de paiement, les pays et les routes d’acquisition. Le devis n’est plus un chiffre unique, mais une projection économique comparative, permettant de choisir la trajectoire la plus rentable.
Le Payment CPQ doit calculer les prix à partir des coûts réels, et non de moyennes théoriques. Il doit intégrer l’interchange, les scheme fees, les frais acquéreurs, les coûts APM et les effets de seuil liés aux volumes.
Cette tarification doit être personnalisable par client, par segment, par pays et par secteur d’activité. Le PSP doit savoir exactement ce qu’il facture, mais surtout pourquoi ce prix est économiquement viable. Sans cette granularité, la promesse de contrôle de marge reste théorique.
Un bon Payment CPQ ne s’arrête pas à la génération du devis. Il fournit des analyses exploitables par les équipes Finance, Sales et Direction. Ces analyses permettent de comprendre l’impact réel d’un deal sur la profitabilité globale, d’anticiper les dérives et d’identifier les segments les plus créateurs de valeur.
Le CPQ devient alors un outil de pilotage, capable d’alimenter la réflexion stratégique et non uniquement l’exécution commerciale.
Le paiement est, par nature, transfrontalier. Un Payment CPQ doit intégrer nativement la gestion des devises, des pays, des fiscalités et des contraintes réglementaires. La facturation internationale ne peut pas être traitée comme une extension tardive du produit.
En intégrant ces dimensions dès la phase de devis, le PSP évite les incohérences entre la promesse commerciale et l’exécution opérationnelle. Il sécurise également sa conformité et sa rentabilité sur des marchés hétérogènes.
La réalité du paiement est dynamique. Les volumes évoluent, le mix de paiement change, les comportements clients varient. Un Payment CPQ doit être capable de recalculer les coûts et les marges autant de fois que nécessaire, sans limitation artificielle.
Ce moteur événementiel permet de tester des hypothèses, d’anticiper des changements de stratégie et d’adapter les prix avant que les impacts financiers ne se matérialisent.
Sans accès direct à la base de données du PSP, un CPQ reste aveugle. La plateforme doit pouvoir se connecter aux sources de vérité internes afin de garantir la cohérence des calculs et la fiabilité des décisions.
Cette connexion permet également de conserver l’historique complet des pricing, des simulations et des arbitrages. La donnée devient un actif stratégique, et non un simple support opérationnel.
Un bon Payment CPQ s’intègre naturellement aux outils existants du PSP. Il dialogue avec les CRM comme Salesforce ou HubSpot, avec les ERP, les outils de facturation et les solutions de signature électronique.
Cette continuité garantit un parcours fluide, de la négociation à la signature, sans rupture de données ni ressaisie manuelle. Le CPQ devient un composant central du système d’information, et non une couche isolée.
La puissance d’un Payment CPQ réside aussi dans sa capacité à encadrer l’usage. Il doit permettre de définir des règles de validation des devis, des seuils d’alerte et des niveaux d’autorisation selon les profils utilisateurs.
Cette gouvernance protège l’entreprise sans freiner l’activité commerciale. Elle formalise les responsabilités et réduit la dépendance aux décisions informelles.
Enfin, un Payment CPQ doit être maintenable et évolutif. Les règles de pricing évoluent, les APM se multiplient et les modèles économiques se transforment. La plateforme doit pouvoir suivre cette évolution sans remettre en cause l’existant.
C’est cette capacité d’adaptation qui distingue un outil tactique d’une véritable plateforme stratégique.
Komission n’a pas construit un CPQ “adapté” au paiement.
Komission a conçu une Payment CPQ Platform native, pensée dès l’origine pour les contraintes réelles des PSP.
Le produit est issu :
Ici, le pricing n’est pas théorique.
Il est transactionnel, mesurable et pilotable.
Komission opère au cœur de l’écosystème paiement.
La plateforme est conçue en intégrant nativement :

Chaque règle du Payment CPQ repose sur une compréhension fine de la chaîne de valeur du paiement, de l’autorisation jusqu’au règlement.
Komission travaille quotidiennement avec plus de 80 PSP, acquéreurs et acteurs du paiement.
Cette proximité crée un avantage décisif.
Elle permet :
Le Payment CPQ Komission n’est pas figé.
Il évolue en permanence au contact du terrain.
Chaque PSP a :
Komission n’impose pas un modèle unique.
La plateforme permet au contraire :
L’objectif n’est pas de standardiser le paiement.
L’objectif est de rendre la complexité gouvernable.
Le Payment CPQ Komission n’est pas un outil “clé en main” rigide.
C’est une plateforme modulaire et entièrement personnalisable.
Chaque déploiement peut intégrer :
Le CPQ s’adapte au PSP.
Ce n’est jamais l’inverse.
Komission ne se limite pas à produire des devis.
La plateforme permet de :
Le Payment CPQ devient :
Un seul référentiel.
Une seule vérité économique.