Solution de paiement

Comment rédiger un appel d’offres (RFP) paiement : guide complet 2025

Publié le
26.10.2025

Comment rédiger un appel d’offres pour une solution de paiement ?

Rédiger un appel d’offres pour une solution de paiement — qu’elle soit physique (monétique en magasin) ou digitale (paiement en ligne) — est une étape stratégique pour toute entreprise qui souhaite optimiser ses coûts, fiabiliser ses encaissements et moderniser son infrastructure.

Mais entre les acronymes (RFI, RFP, RFQ), la diversité des prestataires (banques, PSP, intégrateurs) et la complexité technique des environnements de paiement, beaucoup de projets échouent avant même d’avoir commencé. Cahier des charges flou, critères mal définis, comparaisons biaisées… le risque est de choisir une offre inadaptée ou de perdre des mois dans des consultations inutiles.

Un bon appel d’offres doit avant tout partir de la réalité de vos flux : volumes, typologies de cartes, canaux de vente, contraintes techniques, ambitions de croissance. Il doit aussi s’appuyer sur une vision globale du marché pour évaluer objectivement les prestataires.

C’est justement là qu’intervient Komission.fr :
- Nous auditons votre environnement actuel (coûts, contrats, intégrations),
- Nous comparons plus de 80 prestataires de paiement selon vos critères,
- Et nous vous accompagnons dans la rédaction, la sélection et l’intégration de la meilleure solution.

Cet article vous guide, étape par étape, pour structurer un appel d’offres efficace, comprendre la différence entre RFI et RFP, et éviter les erreurs les plus fréquentes. Que vous gériez une enseigne physique, un site e-commerce ou une marketplace, vous saurez comment transformer votre consultation en un véritable levier de performance et d’économies.

I. Qu’est-ce qu’un appel d’offres (RFP) dans le domaine du paiement ?

Définition et enjeux

Un appel d’offres, ou RFP (Request for Proposal), est un document formel permettant à une entreprise de solliciter plusieurs prestataires pour répondre à un besoin clairement exprimé : ici, la mise en place ou l’optimisation d’une solution de paiement.

L’objectif du RFP est simple : obtenir des propositions comparables et adaptées à vos contraintes techniques, opérationnelles et financières.
Dans le domaine du paiement, il s’agit d’un exercice particulièrement sensible, car la solution choisie impacte directement :

  • Vos taux de conversion (en ligne comme en magasin),
  • Vos frais de transaction et votre rentabilité,
  • L’expérience client (rapidité, fluidité, compatibilité),
  • Et la sécurité de vos flux (conformité PCI DSS, DSP2, fraude, tokenisation…).

Contrairement à d’autres domaines d’achat, un RFP paiement ne se limite pas à comparer des tarifs. Il s’agit d’évaluer la qualité d’un partenaire technologique : sa capacité à s’intégrer dans votre écosystème, à suivre vos besoins de croissance et à innover dans la durée.

C’est donc une démarche à la fois financière, technique et stratégique.

RFI, RFP, RFQ : trois étapes complémentaires

Avant de lancer un appel d’offres, il est essentiel de comprendre la logique de ces trois acronymes souvent confondus :

  • RFI – Request for Information
    Première étape exploratoire : vous interrogez le marché pour comprendre les acteurs, les solutions existantes et les innovations disponibles (PSP, acquéreurs, gateways, orchestrateurs, etc.).
    → Objectif : identifier les partenaires pertinents à consulter plus tard.
  • RFP – Request for Proposal
    Étape centrale du processus : vous rédigez un cahier des charges détaillé et invitez les prestataires retenus à proposer une solution complète, tant sur le plan technique que financier.
    → Objectif : comparer objectivement les offres selon une grille d’évaluation.
  • RFQ – Request for Quotation
    Dernière phase, souvent réservée aux finalistes : vous demandez une proposition tarifaire précise (commission, frais fixes, intégration, support, etc.) sur la base d’un périmètre clairement défini.
    → Objectif : finaliser la négociation et contractualiser.

Dans le paiement, ces trois étapes sont souvent compressées ou mal séquencées, ce qui entraîne des comparaisons biaisées.
Beaucoup d’entreprises sollicitent directement des PSP sans audit ni cadrage préalable, et se retrouvent avec des offres difficilement comparables — car chaque acteur a son propre modèle (par transaction, par volume, par typologie de carte, etc.).

Spécificité du RFP “paiement”

Un appel d’offres monétique n’est pas un simple achat d’équipement ou de service : il touche au cœur du modèle économique de votre entreprise.

Quelques particularités à garder en tête :

  • Les solutions physiques (terminaux, SoftPOS, caisses connectées) doivent être compatibles avec vos infrastructures existantes (TMS, ERP, systèmes de caisse).
  • Les solutions digitales (e-commerce, marketplaces, apps, API) exigent une intégration fluide avec vos environnements techniques (CMS, CRM, systèmes comptables, connecteurs).
  • Les prestataires ont des périmètres très différents : certains sont acquéreurs (banques, Worldline, Axepta), d’autres sont PSP purs (Adyen, Stripe, Mollie), d’autres encore sont spécialisés (Lemonway, Xpollens, Payplug…).
  • Le cadre réglementaire (DSP2, DSP3, PCI DSS, KYC, AML, etc.) complexifie la comparaison, car chaque acteur applique ses propres règles de conformité et d’onboarding.

C’est pourquoi la rédaction d’un RFP dans le paiement exige une connaissance approfondie du marché, des technologies et des schémas d’acquisition.

Le rôle de Komission dans cette phase

Avant de rédiger un RFP, il est souvent nécessaire d’obtenir une vision claire et neutre de votre situation actuelle.
C’est exactement ce que propose Komission.fr :

  • Un audit rapide et objectif de vos contrats, taux, volumes et coûts réels.
  • Une cartographie de vos flux physiques et digitaux.
  • Une analyse comparative avec plus de 80 prestataires référencés.
  • Et la possibilité de structurer votre RFP sur des bases fiables, sans perte de temps ni jargon inutile.

En clair : Komission vous aide à poser les bonnes questions avant de chercher les bonnes réponses.

Besoin d’un expert pour structurer votre appel d’offres ?

Nos consultants en solutions de paiement vous accompagnent dans la rédaction et l’analyse de votre RFP, en intégrant vos contraintes techniques, vos flux et vos objectifs business.

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II. Les 7 étapes clés pour rédiger un appel d’offres efficace dans le domaine du paiement

Rédiger un appel d’offres pour une solution de paiement ne s’improvise pas. Il ne s’agit pas simplement de demander des tarifs à quelques prestataires, mais de structurer une démarche complète : analyse des besoins, cadrage technique, consultation, scoring et négociation.

Voici les 7 étapes essentielles pour réussir votre RFP paiement, que ce soit pour un projet monétique en magasin (TPE, SoftPOS, terminaux) ou digital (e-commerce, marketplace, application mobile).

1. Définir vos besoins métiers et techniques

Tout part d’un cadrage clair. Avant d’écrire la moindre ligne de votre RFP, il faut définir ce que vous cherchez à améliorer :

  • Réduire les coûts d’encaissement ?
  • Unifier vos flux magasin et e-commerce ?
  • Migrer vers un PSP plus moderne ?
  • Intégrer un module de paiement à une application ou un CRM ?

Cette phase consiste à identifier vos cas d’usage concrets :

  • Encaissement en point de vente (TPE, SoftPOS, Tap to Pay)
  • Encaissement en ligne (site e-commerce, lien de paiement, API, mobile)
  • Gestion omnicanale (retours, remboursements, reporting centralisé)

👉 Plus votre expression de besoin est précise, plus les offres reçues seront comparables et exploitables.

Conseil expert Komission

Évitez les formulations vagues (“solution innovante”, “facile à intégrer”). Précisez vos contraintes réelles : volume mensuel, panier moyen, typologie de cartes, environnement technique (ERP, CMS, CRM).

— L’équipe Komission

2. Auditer l’existant avant de consulter

C’est une étape que beaucoup d’entreprises négligent, mais elle est déterminante.
Avant de lancer un appel d’offres, il faut comprendre vos flux actuels :

  • Vos taux de commission (RAFEC ou relevé annuel des frais d’encaissement)
  • Vos types de cartes (CB, Visa, MasterCard, Corporate, Internationales…)
  • Vos frais fixes (abonnements TPE, maintenance, location, support)
  • Vos flux par canal (web, magasin, mobile, marketplace…)

Cet audit permet d’identifier vos marges d’optimisation et d’éviter les erreurs de cahier des charges.

🟣 Komission propose un audit gratuit et confidentiel de vos frais de paiement, basé sur vos volumes réels et votre mix carte. En 48h, vous obtenez une vision claire de vos économies potentielles.

3. Rédiger le cahier des charges du RFP

Le cahier des charges est le cœur de votre appel d’offres. Il formalise vos besoins, vos contraintes et vos attentes de manière structurée.

Voici les rubriques indispensables à inclure :

  • Contexte du projet (situation actuelle, enjeux, objectifs)
  • Volumes d’encaissement (mensuels, annuels, panier moyen)
  • Typologie de flux (magasin, web, marketplace, in-app, B2B…)
  • Contraintes techniques (ERP, POS, connecteurs, API, SDK, tokenisation)
  • Exigences de conformité (DSP2, PCI DSS, KYC, AML, GDPR)
  • Critères de performance (SLA, disponibilité, rapidité, support, intégration)
  • Planning et livrables attendus (phases, pilotes, deadlines)

Un RFP clair permet aux prestataires de répondre précisément et aux décideurs de comparer objectivement les offres reçues.

4.Identifier les bons prestataires à consulter

Tous les prestataires de paiement ne se valent pas — ni par leur périmètre, ni par leur modèle économique.

Selon vos besoins, il est recommandé de consulter :

  • Des PSP généralistes (Stripe, Adyen, Mollie, Checkout.com)
  • Des acteurs bancaires-acquéreurs (BNP Axepta, Société Générale, Crédit Agricole, Worldline)
  • Des spécialistes sectoriels (Payplug pour le retail, Lemonway pour le marketplace, Treezor ou Xpollens pour le BaaS)
  • Des intégrateurs ou orchestrateurs (Lundi Matin, Neo Systems, etc.)

💡 Astuce : limiter le nombre de prestataires à 4–6 permet d’éviter la dispersion et de mieux comparer.

💬 Komission référence plus de 80 prestataires de paiement et sélectionne automatiquement ceux les plus adaptés à votre profil (secteur, volumes, technologies). Vous gagnez un temps considérable et évitez les erreurs de casting.

5. Structurer la grille d’évaluation

Une fois les offres reçues, il faut pouvoir les comparer.
Or, chaque PSP présente ses tarifs différemment (par carte, par transaction, par segment). D’où la nécessité d’une grille de scoring normalisée, basée sur des critères pondérés :

Grille d'évaluation pour appel d’offres (RFP) paiement
Critère Pondération Exemple d’évaluation
Coût total (commissions, frais fixes) 30 % 0,45 % vs 0,38 %
Couverture fonctionnelle 25 % Tokenisation, multi-devise, SoftPOS
Intégration technique 20 % API, SDK, connecteurs ERP
SLA & support 15 % Support 24/7, intégration testée
Innovation & roadmap 10 % Compatibilité euro numérique, Tap-to-Pay

6. Analyser les réponses et challenger les prestataires

C’est ici que se joue la qualité du choix final.
Ne vous arrêtez pas à la lecture des grilles tarifaires : challengez les acteurs sur les points clés :

  • La transparence des frais (interchange, schéma CB, surcharge)
  • Les modes d’intégration (API REST, SDK mobile, compatibilité CMS)
  • Le niveau de support (dedicated account manager, SLA, onboarding)
  • La pérennité du modèle (roadmap produit, conformité PSD3, stratégie européenne)

Organisez si possible des démonstrations techniques ou des proof of concept (POC) pour évaluer la réalité des promesses.

💬 Komission peut accompagner cette phase de validation en centralisant les offres, les questions techniques et les retours prestataires dans un espace unique partagé.

7. Sélectionner, négocier et planifier l’intégration

Objectif : verrouiller le choix final et sécuriser un déploiement sans rupture (in-store & online).

1) Comparer les propositions finales (RFQ)

  • Consolider un TCO à 12–36 mois (commissions, frais fixes, change, chargebacks).
  • Normaliser les quotes : mix cartes, volumes, pays, devises, CB vs schémas internationaux.
  • Valider les SLA (uptime, temps de réponse, MTTR) et les engagements de support.

2) Négocier les conditions

  • Commissions par typologie de cartes (débit, crédit, corporate, internationales).
  • Frais annexes : installation TPE/SoftPOS, tokens, remboursements, disputes.
  • Clauses clés : réversibilité, escalade, indexation, paliers volume & revues trimestrielles.

3) Valider le plan de migration

  • Gouvernance : sponsor, chef de projet, RACI, rituel hebdo.
  • Environnements : sandbox, pré-prod, prod ; accès, clés API, certificats.
  • Données & conformité : tokenisation, chiffrement, PCI DSS, KYC/AML, RGPD.
  • Parc TPE : mapping modèles, TMS, profils marchands, déploiement par lots.

4) Préparer l’intégration (technique & magasin)

  • Connecteurs : POS/ERP/CRM, CMS e-commerce, OMS, compta, BI.
  • Parcours : auth, capture, refund, partials, tips, offline, fallback.
  • Tests : unitaires, intégration, UAT, charge, résilience, plan de rollback.
  • Recette magasin : scripts de test (CB/CB+PIN, sans contact, refus, remboursement).
  • Cutover : créneau faible trafic, double-run si nécessaire, war-room H+24/H+72.

5) Anticiper le run (vision long terme)

  • SLO/KPI : taux d’acceptation, latence, échecs, coûts/txn, disputes.
  • Process post-go-live : support L1/L2, SLA, monitoring, alerting, revue mensuelle.
  • Roadmap : Tap to Pay, SoftPOS, wallets, multi-acquiring, orchestration, PSD3, euro numérique.

> Komission ne s’arrête pas à la mise en relation : nous co-pilotons l’intégration multi-PSP, standardisons la recette et sécurisons votre cutover.

Intégration paiement : méthode pas-à-pas

Connecter vos caisses, TPE/SoftPOS et APIs e-commerce sans rupture : gouvernance, recettes, sécurité, et mise en production contrôlée.

In-Store • Monétique

TPE & SoftPOS : préparer le déploiement

Inventaire & parc • modèles, OS, versions, profils marchands, sites.
TMS & profils • chargement remote, clés, BIN tables, CB & schémas internationaux.
Paramétrage • tickets, tips, offline, sans-contact, fallback IP/4G, multi-MID.
Recette magasin • CB+PIN, sans contact, refus, remboursement, partial capture.
In-Store • Intégration

Connexion caisse (POS) & ERP

  • Protocoles & drivers : CEGID/Oracle Micros, Lundi Matin, intégrations CPOS/COS.
  • Flux caisse : open tab, split, partial refunds, annulation, duplicata.
  • Conso compta : exports, lettrage, rapprochement D+1, écarts.
  • Sécurité : durcissement terminaux, certificats, listes d’APN, segmentation réseau.
Online • API/SDK

Intégrer le PSP côté web & mobile

  • API REST & webhooks : auth, capture, refund, disputes.
  • SDK mobiles : iOS (Swift/Obj-C), Android (Kotlin/Java), Flutter/React Native.
  • CMS : Shopify, Prestashop, Woo, SFCC, plugins & custom gateways.
  • Sécurité : 3DS, tokenisation réseau, vaults, P2PE, PCI SAQ A/EP.
Online • Qualité

Tests & performance

  • Tests unitaires & intégration, sandbox scénarisée (succès/refus/OTP/timeouts).
  • Charge & résilience : pics, latence, retries, idempotence.
  • Monitoring : taux d’acceptation, codes refus, latence, erreurs webhooks.
  • Runbook incident : seuils d’alerte, escalation, rollback plan.
Omnicanal

Parcours unifiés & gouvernance

  • Token unique inter-canaux (magasin ↔ web ↔ app) pour refunds/échanges.
  • Reporting centralisé : clé de réconciliation, référentiels, centre de coûts.
  • Multi-acquiring / orchestration : règles, pays, devises, routage.
  • Conformité & privacy by design : DSP2/3, RGPD, KYC/AML.
Pilotage

Rituels projet

RACI & Sponsor • rôles clairs, owner intégration.
Stand-up hebdo • risques, blocants, décisions.
Comité Go/No-Go • critères, checklists, owners.
War-room H+24/H+72 • suivi post-prod.
Recette & Go-Live

Checklist de validation

Accès & clés

Sandbox/Prod, certificats, TMS, webhooks OK.

Parcours

Auth/capture/refund/partial, offline/fallback testés.

Magasin

Scénarios CB, contactless, refus, duplicata, tips.

Compta

Rapprochements D+1, écarts documentés.

SLA & run

On-call, seuils alertes, runbook incident.

Rollback

Plan validé, double-run si nécessaire.

FAQ Intégration

Questions fréquentes

Combien de temps dure une intégration type ?

De 2 à 8 semaines selon périmètre : plugins e-commerce rapides, connecteurs POS & TMS plus longs. Les projets multi-PSP/omni avec orchestration nécessitent une gouvernance serrée.

Faut-il un intégrateur externe ?

Pas forcément. Komission co-pilote l’intégration avec vos équipes et/ou vos prestataires (POS, ERP, e-commerce), standardise la recette et sécurise le cutover.

Comment limiter les risques au Go-Live ?

Checklists UAT signées, créneau faible trafic, plan de rollback, war-room H+24/H+72, monitoring temps réel (acceptation, latence, erreurs).

Peut-on activer Tap to Pay / SoftPOS plus tard ?

Oui. Prévoir dès le RFP la compatibilité et la roadmap. L’activation ultérieure est simple si les prérequis (devices, profils, certificats) sont en place.

Besoin d’un pilote d’intégration ?

Komission coordonne vos PSP, vos intégrateurs et vos magasins pour un déploiement sans rupture et mesuré sur vos KPI.

III. Cas particulier : appel d’offres monétique physique et e-commerce

Unifier vos flux : la clé d’un appel d’offres moderne

Aujourd’hui, la frontière entre paiement en magasin et paiement en ligne n’existe plus vraiment.
Le consommateur réserve en ligne, paye en click & collect, échange ou se fait rembourser en magasin.
Pour suivre cette logique omni-canale, votre appel d’offres doit impérativement couvrir l’ensemble du parcours d’encaissement, qu’il soit physique, digital ou hybride.

Un RFP monétique bien construit permet d’éviter une erreur fréquente : séparer les flux “commerce physique” (TPE, terminaux, contrats d’acquisition) des flux “digitaux” (PSP e-commerce, wallets, APIs).
Cette approche crée des silos de paiement, des coûts redondants et des données impossibles à réconcilier.

Cas #1 – Appel d’offres monétique physique : TPE, SoftPOS et intégration caisse

Un appel d’offres monétique in-store vise à sélectionner la meilleure combinaison entre :

  • Fournisseur matériel : terminaux Ingenico, Verifone, Pax, Castles…
  • Prestataire d’acquisition : banques (BNP, Crédit Agricole, Société Générale), ou opérateurs monétiques comme Worldline, Payplug, Axepta, etc.
  • Intégrateur technique : TMS (Télémaintenance), support, paramétrage, maintenance.

Points à spécifier dans le cahier des charges :

  • Typologie d’équipements : TPE fixes, portables, Android, SoftPOS.
  • Nombre de sites et utilisateurs.
  • Connecteurs caisse ↔ terminal (protocole CPOS/COS, API, DLL).
  • Gestion des modes : sans contact, pourboire, multi-MID, offline, fallback.
  • TMS : chargement à distance, reporting, logs, supervision.
  • SLA & maintenance : temps d’intervention, garantie, support 24/7.

💡 Conseil Komission : n’oubliez pas d’inclure la compatibilité SoftPOS / Tap to Pay dès maintenant.
Même si vous ne l’activez pas tout de suite, cette technologie remplacera progressivement les TPE physiques sur certaines verticales.

🟣 Cas #2 – Appel d’offres e-commerce et paiement digital

Un appel d’offres e-commerce doit se concentrer sur trois volets :

  1. Fonctionnalités de paiement : cartes, wallets (Apple Pay, Google Pay), liens de paiement, virement instantané, Buy Now Pay Later (BNPL), Pay by Bank, etc.
  2. Aspects techniques : APIs, SDK, plugins CMS (Shopify, PrestaShop, WooCommerce), orchestration multi-PSP.
  3. Conformité & sécurité : PCI DSS, DSP2/DSP3, 3-D Secure, tokenisation, lutte anti-fraude, RGPD.

Points clés à comparer :

  • Facilité d’intégration (documentation, SDK, webhooks, sandbox).
  • Taux d’acceptation et performance (latence, disponibilité, retries).
  • Fraude et scoring : règles dynamiques, machine learning, authentification adaptative.
  • Reporting & pilotage : tableaux de bord, APIs analytiques, exports financiers.
  • Support & roadmap : SLA, innovation, compatibilité euro numérique.

💡 Conseil Komission : ne choisissez pas uniquement sur le taux de commission.
Un PSP légèrement plus cher mais mieux intégré ou plus stable peut générer des gains supérieurs en taux d’acceptation et en productivité comptable.

🟣 Cas #3 – L’appel d’offres omnicanal : l’approche la plus performante

Un RFP omnicanal fusionne les deux mondes : il prend en compte le paiement in-store, e-commerce et mobile au sein d’un seul périmètre contractuel.
C’est le modèle vers lequel convergent les grandes enseignes.

Ses atouts :

  • Contrat unique pour tous les canaux.
  • Token unique client, permettant un refund ou un échange entre web et magasin.
  • Reporting centralisé, facilitant le rapprochement comptable et la BI.
  • KPI unifiés : taux d’acceptation, coût global, panier moyen, répartition carte/alternative.

Ses exigences :

  • Intégration d’un middleware (ou orchestrateur) pour relier les flux.
  • Compatibilité multi-acquiring (routage automatique vers le meilleur acquéreur).
  • Mise en conformité PCI-DSS globale et segmentation réseau cohérente.
  • Gouvernance claire : équipe projet transverse IT + Finance + Expérience Client.
Contexte

Exemple concret : Retail omnicanal

Une enseigne textile opérant 80 boutiques et un site e-commerce international lance son appel d’offres avec l’appui de Komission.

Avant

  • Deux PSP (un bancaire, un e-commerce) et un reporting séparé.
  • Coût global d’encaissement : 0,48 % (commissions + frais fixes).
  • Parcours clients hétérogènes et réconciliation comptable complexe.

Après

  • Contrat unique, intégration API côté e-commerce et TPE Android en magasin.
  • Reporting centralisé et réconciliation simplifiée.
  • Coût global ramené à 0,36 % et +2,5 % de taux d’acceptation.

Impact business

  • Économies annuelles de plusieurs dizaines de milliers d’euros.
  • Expérience client fluide sur tous les canaux (magasin, web, mobile).
  • Pilotage unifié des KPI (acceptation, coûts, latence, disputes).
  • Base technique prête pour Tap to Pay / SoftPOS, wallets et multi-acquiring.

Rôle de Komission

  • Audit initial (RAFEC, volumes, mix cartes) et identification des leviers d’économies.
  • Short-list ciblée de prestataires et normalisation des réponses.
  • Négociation contractuelle et pilotage de l’intégration jusqu’au go-live.

IV. Faut-il faire appel à un cabinet de conseil ?

Le réflexe traditionnel : missionner un cabinet

Lorsqu’une entreprise souhaite lancer un appel d’offres sur ses solutions de paiement, le premier réflexe est souvent de mandater un cabinet de conseil.
Ces structures (ESN, cabinets spécialisés, grands acteurs du conseil) apportent une méthodologie rigoureuse, une neutralité apparente et une structuration documentaire du projet.

Elles peuvent être utiles lorsque :

  • le périmètre est international ou multi-filiales,
  • l’organisation interne manque de ressources pour piloter le projet,
  • ou lorsque l’appel d’offres s’inscrit dans une refonte globale (SI, finance, retail, etc.).

Mais dans le domaine du paiement, cette approche trouve vite ses limites.

Besoin d’un avis expert sur vos coûts et prestataires ?

Komission audite vos flux, compare vos contrats et identifie les meilleures solutions de paiement en moins de 48 h.

Faire auditer mon infrastructure

Les limites des cabinets de conseil généralistes

Les cabinets de conseil ne sont pas toujours des experts monétiques.
Leur rôle est d’encadrer la démarche (processus, scoring, reporting), mais rarement d’entrer dans le détail technique ou contractuel des prestataires de paiement.

Or, la performance d’une solution de paiement dépend de paramètres extrêmement précis :

  • le mix cartes (CB, Visa, MasterCard, Corporate, Internationales) ;
  • la structure des commissions (interchange, schémas, frais cachés) ;
  • la compatibilité technique avec vos outils (ERP, POS, CMS, API, SoftPOS, TMS) ;
  • la réactivité du PSP lors de l’intégration et du support.

Un cabinet peut formaliser les besoins, mais pas forcément identifier les meilleurs PSP, ni mesurer le coût réel d’encaissement sur vos volumes.
Résultat : des appels d’offres très structurés… mais parfois déconnectés de la réalité du terrain.

🎯 À retenir : dans le paiement, la valeur ne se joue pas sur la méthode, mais sur la maîtrise du marché et la capacité à traduire vos contraintes métiers en solutions concrètes.

L’alternative : un expert opérationnel du paiement

C’est précisément la mission de Komission.fr : un acteur spécialisé, à la fois courtier digital et intégrateur multi-PSP.
Notre approche combine l’expertise d’un cabinet et l’agilité d’un opérateur technique.

Audit & benchmark

  • Analyse de vos flux et de vos coûts réels (RAFEC, taux moyens, interchange).
  • Identification des leviers d’économie et des PSP adaptés à votre secteur.

RFP & sélection

  • Rédaction du cahier des charges sur la base de vos données concrètes.
  • Matching automatisé avec plus de 80 prestataires référencés.
  • Comparaison normalisée des offres (prix, technique, roadmap, intégration).

Intégration & suivi

  • Accompagnement technique jusqu’à la mise en production.
  • Coordination avec vos intégrateurs (TPE, SoftPOS, ERP, CMS).
  • Supervision de l’intégration multi-PSP et suivi des performances.

Cabinet de conseil vs Komission : que choisir ?

Comparer la méthode, l’expertise, la vitesse et l’accompagnement.

Tableau comparatif Cabinet de conseil vs Komission
Critère Cabinet de conseil Komission
Positionnement Méthodologique Opérationnel & marché
Expertise paiement Variable selon les consultants 100 % dédiée
Accès aux prestataires Indirect (recherche manuelle) Direct (80 + PSP référencés)
Vitesse d’exécution 6–12 semaines 48 h à 2 semaines
Coût Jour/homme élevé Audit gratuit & commission au succès
Accompagnement technique Optionnel Inclus jusqu’à l’intégration Recommandé

IV. Faut-il faire appel à un cabinet de conseil ?

Les limites des cabinets généralistes

Les cabinets « généralistes » (Big Four, ESN, AMOA transverses) excellent à structurer un projet — gouvernance, planning, matrices RACI, comités — mais ils apportent souvent peu de connaissance terrain du paiement : schémas CB vs internationaux, interchange, logiques d’acquisition, contraintes PCI, tokenisation réseau, orchestration, etc.
Résultat : des dossiers très propres… mais parfois déconnectés des réalités techniques et économiques (intégration POS/TPE, TMS, SDK mobiles, webhooks, latences, taux d’acceptation).

Autre écueil fréquent : des benchmarks coûteux et figés, produits une fois, puis recyclés d’un client à l’autre. Ils deviennent vite obsolètes (roadmaps PSP, frais, features évoluent) et peu corrélés à vos volumes réels (mix cartes, pays, devises, panier moyen, saisonnalité). Or, dans le paiement, le coût total d’encaissement et la performance d’acceptation dépendent précisément de ces paramètres.

En clair : si la méthode est utile, la valeur se joue dans la précision métier (monétique in-store, e-commerce, omnicanal) et la capacité à traduire vos contraintes en choix techniques et contractuels exploitables.

Pourquoi passer par Komission

  • Audit gratuit de vos coûts et solutions actuelles
    Lecture RAFEC, analyse du mix cartes, frais fixes/variables, irritants opérationnels, cartographie in-store / online. Vous obtenez un TCO réaliste et des leviers d’économies chiffrés avant même de lancer le RFP.
  • Matching automatisé avec plus de 80 prestataires
    Base actualisée (PSP, acquéreurs, BaaS, spécialistes sectoriels). On short-liste les bons acteurs selon votre secteur, vos volumes, vos contraintes SI (POS/ERP/CMS) et vos ambitions (SoftPOS, multi-acquiring, wallets, Pay by Bank…).
  • Accompagnement humain pour la négociation et l’intégration
    On normalise les réponses, challenge les postes de coûts (interchange, schémas, frais cachés), sécurise la recette technique (API/SDK, TMS, POS), et pilote le cutover (UAT, rollback, H+24/H+72).

Objectif : un choix solide + un déploiement sans rupture.

  • Gain de temps : en 5 minutes, vous identifiez les meilleures offres pour votre profil
    Formulaire d’expression de besoin → premiers résultats qualifiés rapidement, puis itérations ciblées avec les prestataires pertinents.

Moins d’allers-retours, plus de signal, plus vite.

Avis expert Komission

Plutôt qu’un dispositif lourd et coûteux, Komission apporte une expertise paiement de bout en bout (audit → RFP → intégration), orientée résultats, et calée sur vos données réelles.

— L’expet Komission

V. Les erreurs à éviter dans un RFP paiement

Conseils d’expert Komission

Lancer un appel d’offres paiement sans préparation solide conduit souvent à des comparaisons biaisées, des coûts cachés, voire à des intégrations inachevées.
Voici les erreurs les plus fréquentes — et comment les éviter, selon l’expérience terrain de Komission.

❌ 1. Rédiger sans audit préalable

C’est l’erreur la plus classique : vouloir “faire un benchmark” avant même d’avoir compris vos flux réels.
Sans audit, les volumes, types de cartes, mix canaux ou taux d’acceptation sont estimés à la louche.
Résultat :

  • Des offres incomparables (car chaque PSP calcule sur ses propres hypothèses).
  • Des taux annoncés “optimistes” qui ne reflètent pas vos transactions réelles.
  • Des décisions basées sur la théorie, pas sur les chiffres.

🟢 La solution Komission : un audit flash de vos contrats et relevés RAFEC pour obtenir une base objective et chiffrée avant tout RFP.

❌ 2. Oublier d’inclure les intégrateurs techniques

Beaucoup d’entreprises consultent uniquement des PSP ou banques, en oubliant les intégrateurs qui gèrent les briques essentielles :

  • Caisses, TPE, TMS, POS.
  • ERP, CRM, OMS, plateformes e-commerce.
  • Connecteurs API, SDK, middleware, orchestrateurs.

Or ce sont eux qui feront (ou bloqueront) la réussite de votre projet.
Les PSP répondent rarement sur les spécificités de votre environnement technique.

🟢 La solution Komission : nous associons dès le départ vos intégrateurs ou nos partenaires techniques à la démarche RFP, pour garantir compatibilité, faisabilité et délais réalistes.

❌ 3. Sous-estimer les coûts d’intégration

Un RFP n’est pas qu’une question de taux de commission.
L’intégration peut représenter jusqu’à 40 % du coût total du projet, selon la complexité du SI :

  • développement d’APIs ou SDK,
  • connecteurs POS,
  • paramétrage TPE/TMS,
  • tests, recettes, maintenance, évolutions.

Beaucoup d’acteurs oublient ces coûts dans le calcul du ROI global.

🟢 La solution Komission : notre approche inclut un chiffrage d’intégration clair, adapté à votre stack technique (Web, mobile, retail). Vous comparez des offres globales, pas des prix isolés.

❌ 4. Négliger le post-setup

Un appel d’offres ne s’arrête pas à la signature du contrat.
Le support, la maintenance et l’évolutivité de la solution déterminent sa performance à long terme :

  • SLA & support (24/7, 5/7, réponse H+4 ou J+1).
  • Roadmap produit (SoftPOS, Tap to Pay, DSP3, euro numérique).
  • Mise à jour des SDK/API, tokenisation, conformité PCI-DSS.

🟢 La solution Komission : nous assurons le suivi post-intégration, avec un tableau de bord de performance et un point trimestriel sur les nouveaux leviers d’optimisation.

❌ 5. Choisir uniquement sur le taux de commission

C’est le piège le plus dangereux.
Un prestataire “moins cher” sur le papier peut générer :

  • des frais cachés (abonnements, minimums mensuels, frais de service),
  • une perte de transactions par latence ou compatibilité,
  • un coût réel d’encaissement supérieur une fois tout cumulé.

🟢 La solution Komission : notre plateforme compare non seulement les taux, mais aussi les taux d’acceptation, les coûts indirects et la valeur ajoutée technique (reporting, support, roadmap). Vous obtenez une évaluation à 360°, alignée sur vos priorités business.

🟣 En résumé — Réussir votre appel d’offres paiement

Pilier 1

Audit de départ fiable

Décisions basées sur vos données réelles : volumes, mix cartes, coûts, performance d’acceptation.

Pilier 2

Vision intégrée

Approche technique + économique : in-store, e-commerce, sécurité, conformité, ROI global.

Pilier 3

Accompagnement de bout en bout

Jusqu’à la mise en production : recette, cutover, suivi post-go-live et tableau de bord KPI.

Komission combine ces trois dimensions en un modèle simple : audit • benchmark • intégration — en un seul point d’entrée.

FAQ – Appel d’offres (RFP) pour une solution de paiement

1. Quel est l’objectif d’un RFP paiement ?

Obtenir des offres comparables (techniques + financières) sur la base de vos données réelles, afin de choisir un partenaire adapté à vos volumes, à votre stack technique et à vos enjeux (coûts, performance, conformité).

2. RFI, RFP, RFQ : quelle différence ?

RFI = exploration du marché et des options.
RFP = consultation avec cahier des charges détaillé et grille de scoring.
RFQ = chiffrage final et négociation auprès des finalistes.

3. Qui doit être impliqué côté entreprise ?

IT/Produit (intégration, sécurité, PCI), Finance/Trésorerie (coûts, RAFEC, rapprochements), Opérations/Retail (process magasin), e-commerce/Marketing (parcours client), Juridique/Conformité (DSP2/3, RGPD).
Un sponsor métier est indispensable.

4. Combien de prestataires faut-il consulter ?

Idéalement 4 à 6 acteurs maximum pour éviter la dispersion et permettre une comparaison approfondie.

5. Quelles données partager pour recevoir des offres fiables ?

Volumes mensuels, panier moyen, mix cartes (CB, internationales, corporate), pays/devise, canaux (magasin, web, app), taux d’acceptation actuel, frais fixes/variables, contraintes SI (ERP, POS, CMS, connexions existantes).

6. Quels critères d’évaluation prioriser ?

Coût total (commissions + frais fixes), couverture fonctionnelle (wallets, SoftPOS, multi-devise, tokenisation), intégration technique (API/SDK, connecteurs), SLA/support, innovation/roadmap.
Utilisez une grille pondérée pour objectiver la comparaison.

7. Faut-il séparer l’appel d’offres magasin et e-commerce ?

Non, privilégiez une approche omnicanale : contrat unifié, token unique, reporting centralisé, KPIs communs et parcours cross-canaux (refund web en magasin, etc.).

8. Combien de temps prévoir pour un RFP paiement ?

RFI : 1–2 semaines
RFP : 3–6 semaines (selon périmètre)
RFQ/Négociation : 1–2 semaines
Intégration : 2 à 8 semaines (plugins rapides ; POS/TPE/TMS plus long).

9. Quelles erreurs éviter absolument ?

Rédiger sans audit préalable, oublier d’inclure les intégrateurs techniques, sous-estimer les coûts d’intégration et de run, négliger le post-setup, choisir uniquement sur le taux de commission.

10. Comment sécuriser l’intégration et le go-live ?

Préparer un plan de migration (RACI, sandbox, clés/API, TMS), un dossier de tests complet (UAT, charge, résilience), un créneau de cutover adapté, un plan de rollback et une war-room H+24/H+72 avec monitoring (acceptation, latence, erreurs).

11. Comment traiter la conformité (PCI, DSP2/3, RGPD) dans le RFP ?

Exiger le niveau PCI adéquat (SAQ A/A-EP/P2PE), préciser la gestion 3DS et exemptions, définir les exigences KYC/AML, encadrer la protection des données et la localisation des traitements.

12. Komission remplace-t-il un cabinet de conseil ?

Komission agit comme partenaire d’exécution spécialisé paiement : audit de départ, short-list basée sur +80 prestataires, normalisation et comparaison des offres, puis accompagnement jusqu’à l’intégration.
L’objectif : aller plus vite, avec des choix basés sur vos données réelles et une mise en œuvre sécurisée.

13. Quel ROI attendre d’un RFP bien mené ?

Baisse du coût global d’encaissement, hausse du taux d’acceptation, réduction des frictions opérationnelles (reporting/rapprochement), time-to-market plus court pour de nouveaux parcours (SoftPOS, Tap to Pay, wallets), et une architecture prête pour PSD3/euro numérique.

14. NDA et confidentialité : nécessaires ?

Oui, il est recommandé d’établir un NDA dès la RFI/RFP pour partager vos métriques sensibles (volumes, mix, pays) et obtenir des propositions sincèrement alignées sur votre réalité.

165. Quand solliciter Komission ?

Dès l’idée d’un RFP ou avant, pour l’audit flash et la structuration du cahier des charges ; puis pour la short-list, la normalisation des réponses, la négociation et la conduite de l’intégration (POS/TPE/SoftPOS, API e-commerce, omnicanal).

Jérémy MEUNIER

Fondateur de Komission
Je suis Jérémy MEUNIER, expert des solutions de paiement pour le magasin et le commerce en ligne. J’ai piloté pendant 10 ans la Direction Commercial d’un acteur majeur de la distribution de terminaux de paiement en France (+230k POS et +17k clients), ensuite co-fondateur d'un orchestrateur du paiement all in one (+20M€ ARR) et administrateur de l’association du paiement Français.